27 juillet 2017

Catégories

Reportage sur le 5e colloque des Psychologues de l’Éducation nationale - FSU qui s’est tenu fin juin à Paris.

5e colloque des Psychologues de la FSU : Penser et agir collectivement
« Penser les questions sociales en lien avec le développement psychique », c’est le thème que les psychologues des syndicats de la F.S.U​ avaient choisi pour leur 5e colloque les 22 et 23 juin à Paris.
Les 250 participants ont pu réfléchir et débattre du lien entre les questions sociales et le développement psychologique du sujet, du positionnement du psychologue face à la montée de la précarité et de la vulnérabilité d’une fraction croissante de la population. Ils se sont enrichis à l’écoute de chercheurs, de praticiens qui en exposant leurs recherches, en partageant leurs expériences leur ont permis d’interroger les pratiques, de penser des alternatives aux injonctions contradictoires que subit la profession de psychologue quel que soit le champ d’exercice. En effet, qu’ils travaillent dans l’Éducation nationale, à la PJJ, à Pôle Emploi ou dans l’administration pénitentiaire, les psychologues ont fait des constats communs. Les tentatives d’instrumentalisation de la profession à des fins managériales sont une constante dans les différentes institutions. Ces deux jours d’échanges et de partage d’expériences ont montré la vitalité des psychologues, leur volonté intacte d’être du côté du sujet et de contribuer, de leur place, à ouvrir des perspectives de transformation sociale.

« Penser les questions sociales en lien avec le développement psychique », c’est le thème
que les psychologues des syndicats de la FSU avaient choisi pour leur 5e colloque les 22 et 23 juin à Paris.

Les 250 participants ont pu réfléchir et débattre du lien entre les questions sociales et le développement psychologique du sujet, du positionnement du psychologue face à la montée de la précarité et de la vulnérabilité d’une fraction croissante de la population. Ils se sont enrichis à l’écoute de chercheurs, de praticiens qui en exposant leurs recherches, en partageant leurs expériences leur ont permis d’interroger les pratiques, de penser des alternatives aux injonctions contradictoires que subit la profession de psychologue quel que soit le champ d’exercice. En effet, qu’ils travaillent dans l’Éducation nationale, à la PJJ, à Pôle Emploi ou dans l’administration pénitentiaire, les psychologues ont fait des constats communs. Les tentatives d’instrumentalisation de la profession à des fins managériales sont une constante dans les différentes institutions. Ces deux jours d’échanges et de partage d’expériences ont montré la vitalité des psychologues, leur volonté intacte d’être du côté du sujet et de contribuer, de leur place, à ouvrir des perspectives de transformation sociale.